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Quatrième de couverture
« Le fleuve Rouge, lui, était rouge […] comme s’il charriait de la poudre de brique. Mais il ne charriait rien, il ne bougeait pas, il avait trop chaud. »
Albert Londres (1884-1932), la référence absolue des reporters français, réalise en 1922 un voyage en Orient et séjourne quelque temps dans la colonie. Avec son humour caractéristique, il exagère ses préjugés à l’encontre des indigènes pour souligner le travail surprenant effectué par la France en quelques années. Sous la chaleur écrasante.
L’Indochine française, ou Union indochinoise, était une colonie française créée en 1897 comprenant les régions du Tonkin, de l’Annam et de la Cochinchine au Vietnam, ainsi que le Cambodge et le Laos. Il s’agissait d’une colonie d’exploitation où les Français se procuraient, entre autres, du riz, du thé, du poivre, du charbon, de l’hévéa pour le caoutchouc nécessaire à l’industrie automobile…
À Hué, à Dalat, à Hanoi, à Saigon, à Phnom Penh, Albert Londres rend compte des entretiens que lui accordent les princes régnants, décrit les ambiances des rues et des campagnes et raconte la chasse au tigre à laquelle il participe en compagnie du plus illustre des chasseurs d’Extrême-Orient.
Texte paru en articles dans L’Excelsior (1922).
Détails
Prix éditeur : 10,00 €
Collection : Les explorateurs
Éditeur : MAGELLAN & CIE
EAN : 9782350741031
ISBN : 978-2-35074-103-1
Parution :
Façonnage : broché
Pagination : 72 pages