et partagez votre liste d'envies
pour vous faire offrir des livres !
pour être averti quand
d'autres exemplaires seront disponibles.
Quatrième de couverture
Le récit est rédigé à la première personne. Kyoto, années soixante-dix : un jeune Français s’initie à la cérémonie du thé chez madame Yamamoto. La cérémonie commence. On attend l’arrivée d’une des participantes, Shimizu-san. Elle dit au jeune homme son prénom : Ichie (ichie, « une rencontre ») et elle y ajoute un autre mot : ichigo (« un hasard »). Ichigo ichie, le hasard d’une rencontre autour du thé. Le jeune homme fait ensuite la connaissance de Miya, la soeur d’Ichie. Après quelques semaines où Ichie ne s’est pas montrée à la cérémonie du thé, les pas du jeune homme le conduisent vers l’appartement de Miya, et il pressent un mystère autour de la jeune femme. Quand il revoit Ichie, celle-ci lui révèle à mots couverts que Miya est « dérangée ». Plus tard, Ichie ira chez le jeune homme, lui révélera le secret tragique de la famille, et l’accord amoureux des deux jeunes gens sera consacré par une cérémonie du thé un peu spéciale. Tout est dans le style, dans l’atmosphère, dans le sentiment d’étrangeté et de fascination qu’éprouve le jeune homme et qui se communique au lecteur, et dans la conduite du récit, savamment agencé. On pense au lm sorti en , de Tatsushi Ômori, Dans un jardin qu’on dirait éternel, avec l’impressionnante maîtresse de cérémonie incarnée par Kirin Kiki, récemment disparue, et aussi à Nuée d’oiseaux blancs, de Kawabata Yasunari.
Détails
Prix éditeur : 9,90 €
Collection : Liminaires
Éditeur : L'ASIATHÈQUE
EAN : 9782360572915
ISBN : 978-2-36057-291-5
Parution :
Poids : 100g
Pagination : 112 pages