Nous lançons donc la dernière semaine de campagne totalement décontractés pour Derrière le grillage - tome 1. Les 50% qu'il suffisait d'atteindre grâce à la coédition avec Dystopia ont été dépassés vendredi avec la mise en ventes des 31 originaux de Lise L., Lia Vesperale, Elvire De Cock et Arnaud S. Maniak.
Vous pouvez toujours aller télécharger les premiers chapitres des novellas de Guillaume Chamanadjian, luvan et Sébastien Juillard en haut de la page du crowdfunding pour vous faire une idée du projet.
Les textes sont maintenant corrigés et ils vont partir avec les illustrations à la maquette. Et donc, nous sommes toujours sur le planning annoncé au départ :
Date de fin de la campagne : 03/03/25
Envoi et mise à disposition à la librairie Scylla aux contributeurs : mai ou juin 2025
Parution en librairie : septembre ou octobre 2025
Un grand merci à toutes et à tous pour votre confiance et votre soutien dans une période difficile en général et pour le crowdfunding en particulier...
Dans le cas très particulier qui nous occupe, les 50% équivalent aux 100% d'habitude requis. Si vous attendiez d'être sûr que le projet voit le jour pour participer, vous pouvez désormais le faire. N'hésitez donc pas à précommander le recueil en format papier ou numérique et vous faire plaisir en soutenant le projet dans son ensemble en craquant pour une ou plusieurs autres contreparties.
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Ultime suprise de cette campagne :
une deuxième sculpture de Florian Sohard !
Nous n'étions pas certain qu'il puisse terminer le travail avant le 3 mars, mais c'est chose faite. Voici une deuxième sculpture - et une troisième en fait - avec ce diptyque de Florian Sohard nommé "L'oubli" :

Vous pourrez soit vous offrir le diptyque original ci-dessus soit une des 8 copies de chacun des bustes.
Celui-ci :

Ou celui-là :

Comme d'habitude avec tous les originaux et les ventes de sculptures, la moitié de la somme reviendra directement à l'artiste.
À noter : toutes les sculptures et originaux qui ne seront pas vendus au cours de cette campagne seront remis en vente à la prochaine.
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Quatre nouvelles critiques enthousiastes sont tombées durant la semaine qui vient de s'écouler.
Chez Le Dragon Galactique tout d'abord :
"Le premier texte est celui de Guillaume Chamanadjian et s’intitule NoirPunk. On y suit Myriam chargée de retrouver un hacker depuis bien longtemps disparu et qui a laissé une fortune en cryptomonnaie sur un compte tellement sécurisé que plus personne n’y a accès. Une investigation qui va virer à l’(en)quête identitaire de la protagoniste. Un récit prenant et riche en réflexions dans un univers cyberpunk qui extrapole le côté sombre de notre présent.
[...]
Derrière le grillage est la première pierre de ce proposition éditoriale étonnante et si personnelle qui a tout pour devenir un projet au long cours. Les trois auteurices se sont emparé de ce lieu si particulier pour raconter une histoire qui résonne avec leur propre individualité et ça c’est la magie de la littérature, du sense of wonder qui est l’objet des interrogations de leur éditeur."
Par ici la critique complète...
Ensuite, vous trouverez une très longue critique du côté des Chroniques du Chroniqueur :
"Cant est une novella de science-fiction postapocalyptique, où luvan imagine un monde remodelé par les séismes et habité dans ses hauteurs par les membres du kkaayah, qui fondent une communauté unie par la langue lithique, le Cant, à partir de laquelle elles sculptent des phrases, inscrites sur des monuments de pierre et dont la teneur poétique est retranscrite dans leur discours. Avec un travail magistral de la langue et un récit polyphonique, l’autrice donne corps et vie à des œuvres protéiformes qui accompagnent une humanité qui s’est rapprochée de la nature.
[...]
Cette première itération de ce projet rassemble trois novellas de science-fiction, NoirPunk de Guillaume Chamanadjian, Kawakaari de Sébastien Julliard et Cant de luvan, qui sont de haute volée, et mobilisent des imaginaires Cyberpunk ou postapocalyptique, pour évoquer des mondes urbains dont il est difficile de réchapper, reconfigurés par les montagnes et les séismes. Chacun de ces textes mobilise à sa manière le jardin, comme une forme de thérapie qui lui permet de se confronter à ses traumatismes d’enfant, comme un souvenir qu’un personnage en quête d’identité cherche à retrouver, ou comme une vision d’un futur ou d’un passé possible.
Je ne peux que vous recommander de participer au financement de ce projet, et de le lire une fois que vous aurez l’anthologie entre les mains !"
Par là la chronique complète...
Ensuite, c'est Yossarian – sous les galets, la page… qui signe tout de suite pour un autre volume :
"Au-delà du décorum cyberpunk, Sébastien Juillard propose ainsi une réflexion autour du vrai et du faux, du caractère évanescent des souvenirs, de leur mutabilité, de leur pouvoir d’évocation et de leur faculté à déterminer une psyché. Dans un monde en constante réécriture, où les certitudes d’hier tendent à s’effacer devant un présent qui se recombine constamment pour répondre aux démons de la modernité, notre mémoire n’est-elle pas l’ultime refuge face aux effondrements en devenir ?
Prenant pour point de départ une anecdote surgit de l’enfance, ce continent auquel notre existence prend racine et vers lequel l’entropie nous pousse inexorablement, réactivée à l’occasion d’un drame familial, Derrière le grillage apparaît comme un projet littéraire réussi, marqué à la fois par le choc esthétique et le désir de partager des histoires. Vivement le tome 2."
Hop hop hop !
Enfin, sur Instagram, dans sa publication du 14 février, L'Atelier littéraire écrit - entre autres - ces quelques mots :
"Vient ensuite la novella post-apo de luvan écrite avec cette même contrainte. Et le moins que l'on puisse dire c'est que luvan manie la langue comme personne. Je ne connaissais pas la plume de l'autrice mais je peux dire que son style est inimitable, presque expérimental et que sa vibe singulière plaira aux amateurices de textes atypiques qui portent, explorent et ouvrent des ailleurs possibles. Pour clore le recueil, Sébastien Juilliard nous emmène en plein coeur de Tokyo. Sa plume est incarnée, douce et délicieuse à l'instar de celle que j'avais tant aimé dans Il faudrait pour grandir oublier la frontière (à lire urgemment !). L'univers est ultra stylisé, le folklore japonais apprécié, alors forcément l'ensemble balance des paillettes dans les yeux."
Profitez-en pour suivre le compte de la librairie Scylla.
Plus qu'une semaine pour participer à l'aventure !